La gynarchiste

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il y a 7 ans

Quand on est jeune, pour une petite fille, on rêve de comte de fée, d’être une princesse et du prince charmant. Mais dès l’a d o l e s c e n c e , on déchante vite et ce n’est pas une fois adulte que la tendance s’inverse. Toutes mes copines ont confirmés, bien malgré elles, que le mariage a l’eau de rose et par compromis mutuel n’est pas pour moi. Déjà au collège, j’avais peu de copain et au lycée, ce constat s’est amplifié. La faute aux mecs de mon âge que je juge immature et ne prenant en compte que leur petite personne.

Je n’ai jamais trouvé l’homme qui me convient et pour cause, je les fait tous fuir. J’ai une vision de la vie de couple bien à moi et très claire. Je ne manque pas de prétendants. Je suis une belle brune d’1 mètre 62 pour 51 kilos. Une poitrine généreuse mais sans plus, un beau 90 C et je sais me mettre en valeur quand je sors. Je ne ferme pas la porte à une vie de couple, mais l’homme qui prétendra partager ma vie devra être digne de mes exigences.

Ce soir, c’est samedi soir et comme tous les week-ends, je sors. Je suis célibataire, mais je ne me prive pas. Et qui sait, peut-être vais-je enfin trouver l’âme sœur. En compagnie de ma meilleure amie, ce soir c’est restaurant, bar a thème et ensuite, si je suis motivée, ce sera club mais seule. En effet, mon amie a trouvée le pire mec au monde et ils se sont mariés. La raison du cœur ne s’explique pas, mais tant qu’elle est heureuse, le reste ne me regarde pas. C’est pour cette raison qu’elle ne m’accompagne pas en club.

La soirée avance tranquillement et dans ce bar, un gars tente une approche pour le moins maladroite. Rapidement, je coupe court à toute drague maladroite en lui expliquant ce que j’attends d’un mec. Mes explications ne tardent pas à faire fuir ce prétendant. Encore un qui part en me traitant de folle. Oh, j’ai l’habitude. Plus rien ne me touche venant du soit disant sexe fort.

Ma copine rentrée chez elle, je pousse la soirée vers un club. J’aime cette ambiance respectueuse ou la femme est reconnue à une juste valeur. D’accord, la plus part des mecs sont la pour « baiser », mais malgré tout, quand une femme dit non, c’est respecté et les hommes n’insistent pas. Entre deux danses, je prends un verre tranquille quand un énième prétendant vient tenter sa chance. « - Permettez-moi de vous offrir ce verre. • Oui si tu veux, merci. • Vous êtes seule ? • Oui, le prince charmant n’est pas encore né. Alors je noie mon chagrin. • Vous n’exagérez pas un peu ? • Pourquoi, tu penses être un prince charmant ? • Heu…je n’en sais rien, mais sans apprendre à connaître les gens, vous ne pourrez pas le savoir non plus. • Si je te dis ce que j’attends d’un mec, tu feras comme tous les autres. Tu partiras en m’insultant. • Et je peux savoir ce que vous attendez d’un « mec » comme vous dites ? • Si tu veux, mais ne viens pas me dire que je ne t’ai pas prévenu. • …. • J’attends de celui qui aura le privilège de partager ma vie d’être totalement à mon service tel un esclave moderne. • Je vous demande pardon ? Vous êtes sérieuse la ? • Ne me coupe pas la parole. • Heu oui, pardon. • J’attends de cet homme qu’il ne pose pas de questions, qu’il soit totalement à mes ordres, qu’il fasse tout dans la maison comme un bon esclave. Que ce soit le ménage, le repassage, les lessives, les courses, les repas, bref, tout. Qu’il m’obéisse partout sans discuter ni chercher à comprendre. Tel doit être mon prince charmant. • Vous êtes belle et vous méritez d’avoir un homme digne de vous, mais la,…excusez moi mais,….vous rêvez. Jamais vous ne trouverez un mec qui accepte d’être celui que vous voulez. • Pourtant ca ne te laisse pas indifférent. Déjà, tu n’es pas parti en m’insultant comme tous les autres l’ont fait avant toi. Ensuite, tu prends le temps de me dire que je te plais mais que…Je pense que tu es surpris et que tu as besoin de réfléchir. Donc, tu as la soirée pour me donner une réponse. Je ne pars avant la fermeture à 3h, ce qui te laisse largement le temps. • Non,…enfin c’est que… • Merci pour le verre, a tout a l’heure. »

Je quitte le bar sans même me retourner ou lui laisser une chance de parler trop vite. Je sais que toute réponse hâtive sera prise comptant et que je pourrais la regretter. Homme séduisant, il est bien le premier à avoir une chance d’avoir un avenir avec moi. Mais il n’est pas question que je change quoi que ce soit dans ma conception de couple. S’il me veut, ce sera selon mes conditions. Il est bientôt 3h et je n’ai pas revue mon prétendant de la soirée. L’heure venue, je ne le vois pas venir ce qui confirme qu’il a eu peur de la situation et qu’il est sans aucun doute, parti. Tant pis pour lui. De retour a la maison, pour la première fois, je regrette de ne pas avoir sue mieux l’attirer. Je n’aurais pas changé ma vision du couple pour lui, mais je me dis que d’être trop franche me joue des tours. La nuit confirme ce sentiment car mes rêves sont tourmentés et se tournent vers cet homme. Il est le premier à me faire un tel effet. Je ne suis pas du genre a m’apitoyer sur mon sort et le lendemain, je vais a nouveau de l’avant.

La semaine se passe globalement bien et rien ne vient me perturber dans ma quête de cette vie de couple. Le samedi suivant, dans un autre club, je retrouve ce gars. Comme s’il était écrit que nous devions nous revoir pour nous expliquer. « - Tu ne devais pas venir me donner une réponse la semaine dernière ? • Désolé mais….je n’ai pas pu. • Et tu crois que je vais te pardonner une telle insolence ? • Ne m’en voulez pas, mais quelques heures pour décider de l’avenir d’une vie, avouez que c’est peu. • Donc, depuis, tu as eu le temps de réfléchir. Tu sais donc ce que tu vas me dire. • Je ne m’attendais pas à vous voir ici ce soir. Donc…. • Je suis sur le parking dans 5 minutes. Si tu espères me revoir et être a moi, tu sors et tu m’attends tranquillement devant la sortie du club. Autrement, tu peux m’oublier. • Mais c’est que je ne suis pas venu seul et que mes amis vont me chercher pour me ramener. • Tu ne conduis pas ? • Non mais,… • Tu as 5 minutes pour aller les voir et leurs dire que tu pars en bonne compagnie. » Je ne lui laisse pas plus de temps pour tenter une excuse bidon. Sortie du club avant lui et devant ma voiture, j’attends les 5 minutes promis. Je regrette même d’avoir laissé autant de temps car ca me parait très long et j’ai froid. Le regard froid, j’attends mon premier réel aspirant soumis. Je ne veux pas laisser la moindre place à une quelconque faiblesse dans mes ordres ou mon intonation. Je vois les minutes défiler et après 4 très longues minutes, le voila enfin. Je ne peux pas laisser ma joie s’extérioriser compte tenu de la vie que je veux lui imposer, mais a l’intérieur, c’est une réelle explosion de joie de le voir tout penaud a mes cotés. « - Tu as donc choisis, monte. (Sans rien me dire, la tête basse, il prend place rapidement). Mets ce bandeau sur tes yeux. Tu ne sauras pas ou j’habite tant que je ne te le dirai pas moi-même. (Je démarre et prends la route de ma maison). Qu’est ce qui t’a poussé à accepter la vie qui t’attends à mes ordres ? • J’avoue ne pas savoir. Mais ce que je sais, c’est que je ne réussis pas à vous refuser quoi que ce soit. • Tant mieux, ça t’éviteras d’être puni. • Ah parce que… • OUI. Dois-je te rappeler la vie qui t’attends ? Tu viens à moi comme esclave consentant. Si je ne suis pas satisfaite de ton travail, tu seras évidemment puni et n’attends pas de moi une quelconque pitié ou de la compassion. Durant toute la période de ton dressage, tu vas en baver très fortement. Attends toi a une année des plus compliquée. • Excusez moi, mais vous me parlez comme si j’étais un….chien et…. • TU ES UN CHIEN !! j’ordonne, tu obéis. Je décide, tu exécutes, je te siffle, tu rapplique. Tu es un chien. Tu t’attendais a quoi ? Je cherche un esclave, pas un simple mari. • C’est que je ne voyais pas ca a ce point la. »

Je décide de stopper la voiture dans un endroit sécurisé. Je lui enlève le bandeau et froidement, droit dans les yeux, Je lui fixe un ultimatum.

« Je vais te dire a quoi t’attendre, comme ca, tu n’auras pas de mauvaises surprises. Déjà, prends conscience que tu ne t’appartiens plus. Tu es à moi corps et âme. Tout ce que tu es, m’appartient. La moindre de tes décision devra recevoir mon approbation. Je ne serais jamais ta femme, tu entends ? JAMAIS !! Même si nous venions à nous marier un jour, tu seras toujours mon chien. A tes yeux et dans notre relation, je suis ta Maîtresse et rien de moins. Tu me vénère, tu vie pour moi, pour mon confort, pour mon plaisir. Tu abandonne ton droit au plaisir. D’ailleurs, tu seras mis en ceinture de chasteté dès notre arrivée chez moi pour une durée indéterminée. Cela me permettra de totalement gérer ton corps et de t’interdire l’accès à un plaisir solitaire. Tu ne joui qu’avec mon autorisation et crois moi sur paroles, ce n’est pas pour demain. Tes périodes d’abstinence seront mises à contribution pour faire de toi le parfait chien que je souhaite te voir devenir. Sache que je ne vais pas attendre que tu sois obéissant pour avoir mon plaisir. Je ne me priverai pas de sexe parce que tu es désobéissant ou pas encore assez docile. Oui, tu seras cocu et pas qu’une fois. Mais comme je te le répète, je ne t’appartiens pas, je ne te dois rien. Si tu te pose la question, oui, tu pourras avoir des rapports sexuels avec moi mais ça ne tient qu’à toi. A toi d’être parfaitement obéissant pour que je t’accorde le droit au plaisir. MAIS, ils ne seront que la récompense de ta très bonne soumission sur des longues périodes et ces rapports ne se feront qu’avec capotes pour ne pas me salir. Jamais durant ta vie à mes pieds, tu ne pourras me pénétrer sans capotes. Il n’est pas question qu’un chien de ton rang salisse sa Maîtresse. Dernier point niveau sexe, non, tu ne seras pas le père de mes e n f a n t s. Il est hors de question qu’un chien puisse me mettre enceinte. Mais si ca peu te rassurer, je ne veux pas de gosses. Mais si je venais à changer d’avis, Tu peux être certain que tu ne seras pas le père. Autre point maintenant. Tu auras en charge l’intégralité de l’entretien de ma maison et je serais très exigeante sur la propreté. Rien ne te sera épargné. Si je juge ton dressage concluant, tu pourras venir t’installer définitivement chez moi. Mais la encore, tu seras CHEZ MOI et jamais chez toi. Ma maison ne sera qu’une adresse postale pour toi et tu devras mettre tes revenus à ma disposition pour t’équiper en vêtements ou objets divers. Tous l’entretien de ma maison devra être fait en soubrette. C'est-à-dire, tablier, porte-jarretelles, bas, talons aiguilles, faux seins, soutif, perruque, maquillage. Cela implique que tu devras être parfaitement épilé de A à Z. A la maison, tu devras vivre en permanence en soubrette même si nous avons des invites. Tu assureras le service comme une boniche que tu vas devenir. Tu oublieras progressivement tes amis s’ils ne veulent pas accepter ta condition. Dernier point, tu as obligation de répondre favorablement à toutes avances sexuelles venant de mes invités. Et oui, tu te feras sodomiser, tu apprendras la pipe et à avaler comme une bonne chienne soumise. Maintenant, tu choisis, tu restes et tu débutes ta nouvelle vie, ou tu sors de ma voiture et je te dis adieu. Tu as 1 minute pour te décider, Top départ. »

Bien que froide dans mon regard et dans mes intentions, je suis paniquée à l’idée de le voir fuir. Je désire tellement avoir mon chien que j’ai peur qu’il refuse cette vie. Pourtant il n’était pas question de lui cacher quoi que ce soit. Je veux faire de sa vie un enfer à mes pieds. Je peux voir son émoi dans la vie que je lui destine. Il est en érection dans son pantalon donc je prends les devants. Une main sur sa bosse, de l’autre je lui agrippe les cheveux et fière de cette issue, je lui adresse un « bienvenu à mes pieds le chien, tu vas en baver ». Je replace son bandeau, sors des menottes que je lui met en serrant fermement et un bâillon boule que j’allais lui mettre mais il m’interrompe :

« - Puis je vous poser une question ?

  • Je t’écoute le chien.

  • Vous avez compris que j’accepte d’être votre esclave, mais si à un moment ça ne me conviens plus, me libèrerez Vous ?

  • J’allais te parler de ce point une fois chez moi, mais tu es en droit de savoir en effet. Je te rappel que tu viens vivre cette vie à mes pieds de ton total plein gré et sans menaces ni séquestration. Une période d’essai est bien évidemment comprise dans cette vie. A n’importe quel moment, tu peux reprendre ta liberté sans explications ni justificatifs. La séquestration est un délit passible d’une très forte amende et de peine de prison donc ça ne m’intéresse pas. Et puis, c’est plus jouissifs d’avoir un chien volontaire qu’une personne sous la menace. Donc bien sûr que tu auras cette possibilité. Mais tant que tu es sous mes ordres, tu dois t’engager à vivre pleinement ta vie de chien sans jamais discuter mes ordres. Tu dois accepter et exécuter TOUS MES ORDRES sans discuter, ni même hésiter. Tu refuse un point et tu dégage. Tu hésites une fois et tu dégage. Tu connaîtras tout de ta vie à mon service mais tu dois tout accepter ou dégager. Nous sommes D’accord ?

  • Ah,…heu….oui, nous sommes D’accord. Je suis rassuré d’avoir le droit de partir si je le veux.

  • Déjà, et je ne vais pas te le redire, c’est OUI MAÎTRESSE en permanence et en tous lieux. Au restaurant, dans les magasins, dans les transports en communs, avec des amis ou de la famille y comprit la tienne, tu ne dois jamais l’oublier sous peine d’une sévère punition. Et pour ce qui est de ton droit à partir, c’est comme en boîte de nuit, tout départ est définitif et sans retour à moins de le payer très chèrement.

  • Puis je savoir, Maîtresse, le prix à Payer ?

  • Si tu pars, c’est un droit le plus absolu, mais que finalement, tu fasses marche arrière car je te manque, c’est un affront de ta part. Donc tu en seras très fortement puni. La première chose, sera de ne plus jamais te libérer de ta chasteté. Ta bite ne te servira plus qu’à pisser et rien d’autre. Ça c’est la punition mentale. La punition physique sera v i o l ente. Tu recevras 50 coups de fouets, cravache, martinet tous les dimanches pendant 1 an. Partir et revenir est une humiliation envers ta déesse, ta princesse, ta maîtresse. Je ne peux pas être plus franche avec toi. A toi de bien mesurer le poids de tes décisions. Tu veux toujours être mon chien malgré tout Ça ?

  • Oui Maîtresse, je veux essayer.

  • Bien le chien, ouvre la bouche »

Je place le bâillon que je sers fermement et je termine par un collier et la laisse qui va avec. Avant de reprendre la route, je contemple enfin ce bonheur d’avoir MON chien a mes côtés, à mes ordres. J’ai le feu en moi et je pense que je pourrais me finir rapidement tant je suis totalement excitée. Ce désir me pousse à prendre une autre route que celle de ma maison. Je file chez Carl, un ami gay qui connaît tout de moi et de mes désirs. Arrivé devant sa maison, je laisse mon chien dans la voiture pour aller discuter avec mon ami. Vingt minutes plus tard, je reviens prendre mon chien sorti de la voiture, je lui annonce : « tu vas subir ta première épreuve, tu n’as pas intérêt à me décevoir. » Une fois à l’intérieur, toujours fermement menotté, bâillonné, les yeux bondés et tenu en laisse, je lui enlève son pantalon et son caleçon. Puis je le place au milieu du salon, j’enlève son bâillon, et le met à genoux.

« - Tu es Prêt à me faire Honneur ?

  • Oui Maîtresse.
  • Bien. Carl est devant toi alors, suce-le ! »

Mon chien a un léger sursaut, la surprise. Carl présente son sexe devant sa bouche et à peine une légère hésitation, et la bouche s’ouvre pour sa grande première. C’est Carl qui imprime le rythme mais je veux plus. Je libère les mains de mon chien avec la consigne de faire la meilleure pipe possible.

« Applique toi, suce le bien. Et s’il éjacule dans ta bouche, tu avale tout sans discuter ni en perdre une goutte » Je contemple ce prétendant s’activer sur le pieu de Carl. Si la pipe semble bien maladroite, la volonté de bien faire est réelle et se voit sans soucis. Laissant le chien s'activer, Carl et moi échangeons comme si nous n'étions que tous les 2. • Je vous remercie de m'offrir votre chien. C'est agréable de ce faire sucer par un chien. • C'est avec plaisir que je te l'offre. • Bien que ce soit plaisant, je doute qu'il réussisse à me faire éjaculer en suçant comme ça. • Il apprendra, j'imagine que ce doit être une première pour lui. (Le chien le confirme par un oui de la tète sans arrêter la pipe en cours).

On poursuit notre discussion comme si nous n'étions que tous les deux. Au bout de 40 minutes, Carl me demande. • Madame, me permettez vous de l'enculer? • Ce n'est pas à moi qu'il faut le demander. Appel ton Maître. Au téléphone, le Maître de Carl, Simon, un ami rencontré dans un club SM, donne son accord. Carl se retire de la bouche de mon chien et je lui remets son bâillon et les menottes. Plaqué sur la table, la croupe offerte, Carl est prêt. • Non Carl, pas de préparation. Tu le défonce direct. • Excusez-moi, Madame, mais je vais le déchirer. • C'est un chien, il sait ce qui l'attend. Tu l'encule direct. • Bien Madame, mais sachez qu'il va boiter pendant 15 jours. • Je n’en ai rien à foutre. C'est sa condition de chien à mes pieds. Qu'il boite s'il veut. Encule-le.

Carl présente sa queue a l'entrée de l'orifice et il commence à pousser sans trop de retenue. Le chien crie tout ce qu'il peut car c'est assez v i o l ent pour une première. A hauteur de l'oreille de mon chien, je lui confirme que c'est ça, la vie qu'il aura à mes pieds. Je vois des larmes couler sur son visage et Carl réussit enfin à entrer. Mon chien est enculé jusqu’à la garde. Carl me regarde comme pour attendre mon feu vert que je lui donne bien volontiers et déjà, le rythme de pénétration est impressionnant. Comme souhaité, il n’y à pas de pitié, pas de retenue comme si c’était une habitude pour ce soumis de se faire sodomiser.

Ce spectacle me réjouis fortement et si je pouvais, je me donnerais un plaisir sans limites. Mais je me retiens et je poursuis d’encourager Carl dans son entreprise de démolition. La fin approche et Carl me demande l’autorisation d’en finir.

« Tu peux te retirer, le chien doit avoir soif »

Carl se retire, de mon côté, je retire le bâillon boule de mon chien que je fais mettre à genoux « ouvres la bouche, tu dois avoir soif avec tout ca ». En bon soumis, il obéit et Carl ne tarde pas à remplir la gueule du chien. « N’en perd pas une goutte, avale tout ce sperme si généreusement offert ». Sur le visage de cet aspirant, je peux voir des larmes versés et des grimaces quand au supplice de tout avaler. Mais une fois encore, très agréablement surprise, il ferme la bouche et dans une grimace plus marquée, je le vois avaler. Quand il ouvre à nouveau la bouche, je peux voir sa bonne obéissance, il a tout avalé. « Il reste du sperme sur la queue de Carl, nettoie le »

Sitôt ordonné, Sitôt obéis, le chien nettoie son baiseur. Carl ne tarde pas à retrouver de la vigueur. J’agrippe les cheveux de mon chien et lui tire la tête en arrière.

« Je t’ai demandé de le nettoyer, pas de le faire bander. Tu en a pas eu assez, tu en veux d’autres ? (Sans le laisser répondre) finalement, tu es une vraie salope. Ca à l’air de te plaire de te faire défoncer le cul. Qu’à cela ne tienne, Carl, défonce le, grâce à toi, cette salope aime la bite ».

Pendant que je remets le bâillon du chien et les menottes dans le dos, Carl remet une capote, tout heureux de pouvoir se vider à nouveau. A peine le chien en position que déjà, il est sodomiser sans ménagement ni précautions. Carl mets plus de temps à atteindre le plaisir et ce n’est pas pour me déplaire. A la fin, même rituel, le chien doit avaler et nettoyer et cette fois, il fait tout pour éviter que Carl ne retrouve de la vigueur. Pendant que mon soumis se rhabille, je remercie Carl et Simon par SMS. Puis nous prenons congés, le chien tenu en laisse et les yeux bandés.

Une fois chez moi, j’installe mon chien nu dans ma chambre et je l’équipe de sa première cage de chasteté. Un modèle court en acier avec un anneau proche des bourses. Puis je l’installe dans une 2dme chambre pour la nuit, moi je m’endors tranquillement, le cœur léger et enfin heureuse d’avoir mon premier chien, et quel beau et bon chien. Je ne réussis pas à trouver le sommeil compte tenu de l’excitation accumulée dans la soirée. Je décide donc de rejoindre mon chien. Je le vois trifouiller sa cage de chasteté et prendre l’habitude de vivre avec un tel élément. Il ne m’a pas vue et je profite de l’effet de surprise.

« - Tu t’y habitueras, laisse ta cage tranquille.

  • Ah …heu…je ne vous avais pas vue.
  • Ne te justifie pas. «

Je place un bandeau sur ses yeux puis je me déshabille. Nue au dessus de son visage, je le chevauche et je lui donne l’ordre de me « lécher » et de ne s’arrêter que sur ordre. La chatte a porté de sa langue, il lèche divinement bien. Je suis heureuse d’avoir enfin trouvé ce compagnon idéal. Je jouis a plusieurs reprise sous ses coups de langues et me réjouis de voir la cage faire son office. « - Tu aimerais que je te libère de ta cage ?

  • Oui Maîtresse, vous pouvez facilement le voir.
  • Tu as aimé le petit séjour chez Carl ?
  • Je ne sais pas Maîtresse.
  • Tu n’as pas aimé sucer ?
  • Non Maîtresse.
  • J’imagine que tu n’as pas aimé non plus avaler.
  • Non Maîtresse.
  • Donc, la sodomie, ça a été un calvaire pour toi.
  • Au début, oui Maîtresse, mais pas à la fin.
  • Comment ça, que veux tu dire ?
  • Au début de la sodomie, j’ai eu très mal, c’était une horreur. Mais au fur et a mesure et surtout sur la 2eme sodomie, j’ai ressentis des sensations étranges et contradictoires.
  • C'est-à-dire ?
  • J’avais chaud au ventre sans pour autant dire que c’était du plaisir. Mais oui, la sensation était agréable et intense.
  • Oh, en voila une bonne surprise, tu as aimé te faire enculer comme un chien.
  • Heu….oui, on peu dire ça Maîtresse.
  • Mais pourtant, c’était ta première fois, non ?
  • Oui Maîtresse, mais je dois avouer y avoir déjà pensé plusieurs fois avant sans jamais avoir voulu franchir le pas.
  • Donc, si je comprends bien, je t’ai offert un fantasme sur un plateau.
  • Oui Maîtresse.
  • Ravie d’apprendre que tu aimes te faire sauter. Au moins, tu n’auras pas de mal a t’y habituer. Mais en bonne chienne que je vais faire de toi, la pipe et avaler le sperme feront parti de ton quotidien. Je me moque tu aimes ou pas.
  • J’ai bien compris ça, Maîtresse.
  • Pour finir ce soir, je vais t’offrir un plaisir qui sera un calvaire pour toi. Je vais te libérer de ta cage et je vais profiter de ton érection. MAIS, Tu seras attaché et tellement plaqué au lit que tu ne pourras pas bouger. Tu ne pourras que sentir mes mouvement de plaisir sans me donner ton rythme et ton tempo. Quand j’en aurais finie, j’enlèverai ta capote et retour dans la cage de chasteté que tu aie remplis la capote ou non. Le tout ce fera les mains attachés, le bassin attaché, les cuisses attachés, les chevilles attachés, avec un bâillon pour ne pas t’entendre et un bandeau car je ne veux pas me montrer nue devant mon chien. Ça laissera ton imagination gamberger. »

Joignant le geste à la parole, je remets son bâillon puis je le ficelle au lit de façon inextricable. Une fois l’œuvre achevée, je teste ses capacités à bouger par des chatouilles. J’apporte les corrections nécessaires puis je libère son sexe de son dispositif de chasteté. Il arbore une fière érection sur laquelle j’applique un gel anesthésiant afin de lui ôter toutes sensations et donc tout plaisir. Je place un préservatif et je chevauche mon chien. Je m’empale sur ce pieu raide dingue de désir pour moi sans retenue. Je sais parfaitement qu’il n’a pas la moindre sensation de ce coït donc j’en profite a fond. Pendant de très longues minutes, je ne lui cache pas le plaisir que je prends de lui à son insu. Son visage affiche toute la frustration lié a cette situation inédite pour lui ce qui a le don d’augmenter mon plaisir. Je savoure toute la maitrise et l’emprise que Jai sur lui.

Une fois rompue de plaisir, je laisse mon chien se calmer pendant que je me rhabille. Je termine de calmer ce soumis a l’aide d’eau froide pour un meilleur retour en cage. Une fois les choses rentrées dans l’ordre, je libère mon chien qui ne cache pas sa déception sans pour autant dire le moindre mot. Nous reprenons places dans nos lits respectifs pour une nuit très réparatrice pour moi et très agitée pour lui. Conséquences de sa première nuit en chasteté.

Le lendemain marque le début de sa nouvelle vie d’esclave avec le ménage de ma maison, la préparation de mes repas et l’accueil de mes convives le tout dans une tenue de soubrette. Le début d’une vie de servitude et d’une très longue période de dressage qui, je l’espère, aboutira sur cet esclave que j’attends depuis l’a d o l e s c e n c e .

Mais ça, c’est un autre chapitre de mon histoire.

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